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Par Louis G le 27 Mai 2011 à 22:05Longue journée avec mon équipe de lecture. On a analysé le chapitre 4 du nouveau manuscrit. Oufffff. Plein de corrections à faire. Et ce n’était pas facile parce qu’il y a quelques caractères dans ce chapitre qui ont vraiment mauvais caractère. Alors faire changer leurs démarches et leurs dialogues, ce n’était pas du gâteau. Et ...en plus, Marie Antoinette passait son temps à entrer dans notre salle de travail bien qu’on ne cessait de lui répéter que c’était dans le premier manuscrit qu’elle avait un rôle à jouer et non dans ce deuxième manuscrit qui de plus n’est même pas terminé. oufffffffff quelle journée!!!! ceci dit bon début de journée à ceux et celle qui passeront par ici avant moi
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Par Louis G le 11 Mai 2011 à 23:45Alors que monsieur hiver,
Par un chemin de terre
Est parti se reposer
Avec ses bonhommes de neige gelés
Au nord du nord
...Dans ce coin de l’Arctique
Où les changements climatiques
Ne leur feront pas de tort
Moi, je n’ai toujours pas bougé
De mon clavier
Et je continue de corriger
Un manuscrit non terminé.
Cependant je prends le temps
De vous dire maintenant
Passez une belle journée
Je reviendrai plus tard vous resaluerAfficher la suite
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Par Louis G le 7 Mai 2011 à 01:58Voilà, je donne congé à mes personnages aujourd’hui. Doit faire des courses de toute façon. Alors je vous laisse en compagnie de la mère Michel. Allez à la Soupe Populaire, vous la reconnaîtrez facilement…et puis vous pourrez déguster une bonne bouillie… si cela vous tente…
….Les pauvres avaient en effet poussé comme des champignons... au cours des derniers mois. Le pain, lui, au contraire, s’était fait rare. La Soupe Populaire avait même commencé à servir en lieu du pain une espèce de bouillie faite avec de la farine de blé de Turquie appelée gaude.
Cette gaude, seuls les plus affamés réussissaient à l’ingurgiter. Les autres attendaient que la torture de la faim devienne insoutenable. Ce n’était qu’à ce moment que leur bouche se laissait apprivoiser par ce plat sans saveur et peu appétissant. Un des seuls pauvres qui n’hésitait pas à remplir sa cuillère de gaude, était une femme très âgée et fort connue de tous les Auxonnais. Cette femme, c’était la mère Michel. Les gens disaient d’elle que si elle savourait la gaude, c’était que ses dents s’étaient sauvées depuis fort longtemps de sa bouche. Que ses papilles avaient perdu toute facilité de détecter le goût des aliments
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