.... présentement à la recherche du Prieuré Noir qui serait situé près du Pont du Diable..... de retour bientôt...

Ouffff…. J’ai fait un saut quand je l’ai vue. Je ne m’étais pas aperçu qu’elle était sortie sans faire de bruit d’une des premières pages du livre. Elle s’est excusée bien entendu de m’avoir troublé alors que je me concentrais sur mon travail de correction. Puis elle m’a avoué que sa présence avait simplement pour but de me demander si son aïeule, Rosabelle Santini, faisait aussi des cauchemars comme elle en faisait. Quand je lui ai demandée pourquoi la question. Elle m’a simplement répondu que ses cauchemars étaient des prémonitions. Qu’elle cherchait à comprendre. Puis, lui ayant répondu que je ne croyais pas que Rosabelle en avait faits, elle m’a laissé en plan, se faufilant sans bruit derrière la page 45. . .

Cet homme, qui dit s'appeler l'abbé Benoît, est venu frapper à ma porte pour savoir si je savais où trouver le descendant d'un certain Philippe Santini, né Dupuit, dont il est question dans la Berceuse de Notre-Dame. Questionné au sujet de qui il était et de ce qu'il voulait, il m'a simplement répondu qu'il était l'un des derniers membres du Prieuré Noir et qu'avec mon aide ou pas, il retrouverait la personne cherchée, ce car il était en mission de rédemption !!!!!

Un petit bonjour en passant pour vous dire que je vous oublie pas et que j'arrive à la fin de la première grande revision de mon deuxième manuscrit... c'est un peu comme si le chemin était maintenant tracé... ne me reste plus qu'à le paver, à faire les trottoirs et à planter des arbres en bordure... un travail long et laborieux ... j'ai dû remplir pas loin de deux gros camions à ordures de fautes, de coquilles et même de personnages fictifs qui n'avaient rien à voir avec mon manuscrit mais qui essayaient quand même de s'y trouver un logis....

Ca y est... la machine à rumeur s'est mis à fonctionner à pleine vapeur au marché public ce matin. Des langues bien pendues ont répandu des histoires d'un possible trésor mentionné dans une lettre perdue à la poste pendant des décennies et qui aurait été adressée à un certain Santini. Reste à savoir s'il y a quelque chose de vrai dans tout cela. Reste à savoir l'identité de ce confesseur qui serait l'instigateur de cette lettre.