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Par Louis G le 17 Avril 2011 à 19:22Bonjour,
Je passais par hasard, par cette page, par envie de vous saluer aujourd’hui, moi le Curé Delacuisine , avec Mère DeRey, Maître Duclos, la mère Michel, et Lt Bonaparte. Ce sont des amis qui ont pris ou repris vie dans la Berceuse de Notre-Dame, dont peut-être quelques paragraphes sont venus vous chatouiller les yeux. Je me suis donc dit que si l’envie vous prenait de nous connaître un peu plus, au cas où présentations n’auraient pas déjà été faites, il me faudrait vous informer que vous pourriez nous retrouver ici ou sur :
http://bouquin-lafontaine.jimd o.com/
— Crévindious ce qu’il a un beau langage ce curé! On croirait ben qui veut nous soutirer quelques choux pour sa Soupe Populaire, c’est moi la Michel qui vous’l dit. . . en attendant prenez bien soin de vous-même et de la part de Louis passez une scintillante journée
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Par Louis G le 7 Avril 2011 à 13:33
Se faisant, le Gouverneur et le Comte avaient croisé le maître menuisier Duclos. Ce dernier, un artiste du bois, reflétait une humeur des plus joyeuses.
— Quel chef-d’œuvre viens-tu de terminer, maître Duclos, pour qu’ainsi tu resplendisses de joie ?
— Le plus beau des chefs-d’œuvre du monde monsieur le Comte. Un enfant !
— Un enfant ?
— Cela est, monsieur le Comte.
(La berceuse de Notre Dame –extrait page 37)
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Par Louis G le 5 Avril 2011 à 01:53
— Dis Philippe, vois-tu la chouette ?
— Oui maman, je vois.
— Et bien frotte-la de ta main.
— Oui maman.
— Non mon petit, pas de cette main. De la main gauche.
— D’accord, maman.
— Et pendant que tu la frottes, fais un vœu.
— Oui maman, avait-il répondu tout en frottant la chouette. Mais dis maman ?
— Quoi mon petit ?
— C’est quoi un vœu ?
(La berceuse de Notre Dame –extrait page 80)Afficher la suite
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Par Louis G le 2 Avril 2011 à 14:35
Réception chez la Comtesse de Berbis 1 avril 2011
Bonjour,
Comme je vous l’ai dit à mon dernier passage sur ma page FB, je me suis rendu hier au salon de la Comtesse de Berbis à Auxonne. Il y avait là un tout plein de monde. Des prêtres comme le curé Delacuisine, des nobles comme le Gouverneur de Thiard et le Comte de Condé. Des bourgeois comme le Marchand Pillet et le Comptable Bersonnet et même des militaires comme le Général DuTeuil et un jeune officier du nom de Bonaparte. . .
— Un plaisir que de vous rencontrer monsieur Bonaparte. Que d’entendre votre merveilleux accent corse.
— Le plaisir est mien monsieur je ne sais trop qui. Quand à l’accent je n’en ai point et je suis le seul à ne point en avoir ici. Le vôtre par contre me chatouille quelque peu les oreilles. Un accent qui me semble venu de nul part mais qui tartine avec saveur le langage que vous tenez.
— De tels mots d’un grand homme, de celui qui dirigera un jour la destiné de tout un peuple, me sont compliments.
— Balivernes que tout cela. J’ai peine à m’occuper de mon petit frère. De plus je ne suis qu’un simple petit Corse qui ne veut que faire honneur à sa famille.
— Je n’en doute pas monsieur Bonaparte. Mais vous verrez. L’histoire se rappellera de vous et votre nom se retrouvera gravé sur les pages de nombreux livres comme ceux que possède votre ami monsieur Bersonnet.
— Nommez m’en un monsieur dont le nom m’échappe !
— La Berceuse de Notre-Dame, pour n’en nommer qu’un. Vous pourrez même en lire des extraits en vous rendant au http://bouquin-lafontaine.jimdo.com/
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